Au large, une île peuplée d'êtres ayant fui le continent, des gens qui avaient soif de vent, d'embruns et de sel. Sur cette île, des chats qui disparaissent peu à peu, comme ça, pour rien. Des gens du continent leur en offrent alors de nouveaux; des chats tous beaux qu'il faut tenir en laisse, des chats qui aboient et qu'il ne faut surtout pas appelé chiens ! Sur cette île, une commère. Quoi de mieux qu'une commère pour dire un monde où le langage se manipule pour changer les idées !
Extrait du roman d’Isabelle Aupy
« Les chats pour nous, c’était comme la liberté, c’est quand on la perd qu’on se rend compte qu’elle manque» - Isabelle Aupy